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Bande d'assistés!

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30 juin 2010

A CELUI QUI, DES ETATS UNIS, S'INTERESSE A CE BLOG...

Petit clin d'oeil à celle ou celui qui, des USA, s'intéresse (à priori) à ce blog: peut-être pourriez-vous me laisser un petit commentaire pour me dire pourquoi.

Sydo

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30 juin 2010

PAUSE DEJEUNER

Et vous, vous faites quoi pendant votre pause déjeuner.

J'en connais qui restent au bureau et mangent des plats cuisinés à base de poisson, achetés en supermarché, réchauffés au micro-onde. Aprés, ça empeste dans toute l'agence. J'ai honte quand les clients du début de l'aprés midi arrivent et j'ai surtout peur qu'ils puissent penser que l'odeur vient de moi!

J'en connais qui ne mangent pas, comme ça, ils gagnent à la fois du temps et de l'argent, mais pour la santé il parait que ce n'est pas recommandé.

J'en connais qui rentrent chez eux en courant pour ne pas rater Jean-pierre Pernaut.

J'en connais qui arpentent les rues de la ville et accessoirement les magasins, un sandwich à la main. Attention, dangereux pour la carte bleue, j'ai testé.

J'en connais qui mangent à la brasserie du coin en délirant avec leur collègue histoire de passer un bon moment, comme ça a été le cas pour moi ce midi.

J'en connais qui font du sport, Hop! Une heure de natation!!!

J'avoue avoir testé toutes ces possibiltés, et vous?

Sydo

30 juin 2010

CEUX QUI SONT DU MOIS DE JUILLET...

En ce moment, sujet de préoccupation majeur au bureau : les vacances!

Moi je pars en août, alors je n'ai pas encore l'esprit à ça. Mais, ceux qui partent en juillet ne parlent plus que de leur vacances, leur réservation, leurs préparatifs.

J'ai une collègue qui compte les jours: chaque matin c'est "plus que 5 jours....plus que 4 jours...". Et aucune pitié pour moi, à qui il reste un mois, et pas facile encore car je vais devoir faire le boulot de 2.

Non, décidément, en ce moment, je maudis les "juillettistes(pas sure de l'orthographe)" qui s'en vantent!

Mais, mais mais.....je sais que dans un mois, je vais tous les voir rentrer. Et là, à mon tour de parler de mon séjour dans le sud de la France, au soleil, de parler de mes valises presque prêtes, etc, etc...

Aoûtiens, nous aurons notre revanche.

Sydo

8 avril 2010

TO BISES OR NOT TO BISES

Difficile parfois le matin de dire bonjour à ses collègues!

Alors, il faut se rappeler : il y a ceux à qui on sert la main ; il y a ceux à qui nous font la bise (2), ceux à qui ont fait la bise (4). Les chiffres entre parenthèses ne correspondent pas au nombre de collègues mais bien au nombre de bises, soyons précis!

Il y a ceux à qui on sert la main alors qu'on aimerait tant leur faire la bise... et à l'inverse ceux qu'on se passerait bien d'embrasser...

Avec certaines personnes, j'oublie systématiquement si c'est bise ou poignée de mains.

J'ai connu des poignées de mains beaucoup plus sensuelles qu'une bise mais ça, c'est une autre histoire.

Finalement, le matin pourquoi ne pas se contenter d'un simple "bonjour tout le monde!"

Sydo

8 avril 2010

SE SENTIR SEULE...

Se sentir seule au travail, ne pas se sentir soutenue, ne plus réussir à être motivée, être sans énergie. Vous l'aurez compris, j'ai une petite baisse de forme en ce moment...

Un gros manque d'intérêt, une grosse envie de tout lacher. Tiens, je me surprends même à me demander si je ne ferais pas mieux de tout quitter. Je sais bien que non, ce n'est pas la solution.

Comme je n'aime pas être comme ça, je vais me donner des coups de pied aux fesses comme on dit. Et je sais que ça va repartir. Je me connais, l'optimisme finit toujours par triompher. Il suffira du sourire de mon collègue préféré, celui qui était parti depuis quelques temps et qui, je le sais maintenant, va revenir. J'aurais l'occasion d'en reparler sous peu.

J'espère écrire plus souvent quand le moral sera revenu!

Sydo

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11 février 2010

LA REUNION

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J’avais une réunion ce matin pour parler d’un projet au niveau du journal. Réunion avec mes collègues assistantes, le directeur commercial et le rédacteur en chef.

Première constatation : nos réunions ne commencent jamais à l’heure, bien que tout le monde soit pressé que ça se termine. Quand je dis que tout le monde est pressé que ça se termine, ça peut être pour différentes raisons, ce n’est pas forcément par manque d’intérêt… c’est un autre rendez vous après ou un travail urgent qui nous attend… Enfin bref, si ça pouvait ne pas s’éterniser, ça nous arrangerait ! Mais il y en a toujours pour discuter de la pluie et du beau temps, mettre une heure à s’installer, sans parler de celui qui arrive systématiquement en retard…

Deuxième constatation : bien sur que ce qui me parait évident, ne l’est pas forcément pour tout le monde, mais je suis toujours surprise quand je vois que certains n’ont rien prévu pour prendre des notes. Il s’en suit alors entre collègues un échange de feuilles de papier, de stylos, et encore une perte de temps !

Troisième constatation (et dernière car je dois aller me coucher) : passons directement à la fin de la réunion car je vous ferais grâce de son contenu. Quand on croit que c’est fini, qu’on a déjà commencé (discrètement) à ranger ses affaires, il y en a toujours un, ou une, pour continuer à poser des questions, et ça emmerde tous les autres. Ca relance le débat et hop ! On en reprend pour une demi-heure.

Voila, la petite réunion de ce matin, qui devait durer trois quart d’heure, s’est terminée au bout de trois longues heures, et encore, si je n’avais pas jeté un regard assassin à mon collègue, poseur de questions de dernière minute, je crois bien qu’on y serait encore…

Sydo

8 février 2010

A CELLES QUI SONT SURES D'ELLES

Ah ! Celles qui ont l’air sures d’elles. Comme je les envie... Je dis celles, plutôt que ceux, car je m’identifie forcément plus à une femme qu’à un homme.

Toujours bien habillées, toujours le sourire, toujours des choses à dire et un avis sur tout. Jalousie féminine me direz vous ! Non, simplement, je les envie.

Vous me verriez, toujours hésitante, me trouvant moche, parlant peu de peur de dire une connerie. Et encore, j’en ai gagné avec l’âge.

Comment font-elles pour ne douter de rien, moi qui doute de tout. Comment font-elles pour avoir un avis sur tout. Moi, sur certains sujets que je ne connais pas, je n’ai pas d’avis, je l’avoue. Il me faudrait étudier ledit sujet avant d’émettre ne serait-ce que le début du commencement d’un avis et encore !

Et elles, elles savent.

Et quand elles ne savent pas, je pense qu’elles en parlent quand même… C’est cela qui est fort !

Sydo

8 février 2010

LA GREVE DU CAFE

Demain, c’est décidé, je fais la grève du café.

Oui, en me lisant, vous pourrez constater que j’ai de graves problèmes… mais bon, de temps en temps ça fait du bien d’aborder des sujets légers.

Aujourd’hui au bureau, j’ai punaisé le mode d’emploi (de la cafetière) au dessus de la cafetière. Peut-être que personne d’autre que moi ne sait s’en servir ... Ce serait pour cette même raison que je suis la seule à mettre des cafés en route. Le matin, en milieu de matinée, le midi, l’après midi…

Pas un merci bien entendu. Et quand la cafetière est vide, ils (ou elles) repartent à leur bureau d’un air navré(e), soupirant, mais ne relançant pas une tournée…

Pour l’approvisionnement en café, filtres et sucres, c’est la même chose. A croire que je suis la seule de toute l’équipe à faire des courses.

Alors demain terminé le café, je me mets au thé. Et vous allez voir, ils vont tous vouloir me piquer mes sachets, et la bouilloire que j’aurai mis à chauffer… Et ces collègues, quels boulets parfois !

Sydo

8 février 2010

AU SECOURS! MA COLLEGUE EST DEPRIMEE...

AU SECOURS ! MA COLLEGUE EST DEPRIMEE …

Ma collègue, qui est aussi une amie ou mon amie qui est aussi une collègue est déprimée, à cause de son boulot, dit elle.

Je la vois s’enfoncer dans sa déprime et je n’arrive pas à l’aider. Plus rien ni personne ne trouve grâce à ses yeux : « un tel, c’est un connard, une telle est bête comme ses pieds, lui il est nul » etc…

A longueur de journée, elle se plaint d’être débordée, elle se plaint de ne devoir gérer que des réclamations, part en vrille quand quiconque lui fait la moindre réflexion. Que peut-il se passer dans sa tête, elle que j’ai connu pleine de motivation, pleine d’entrain pour son travail…

J’essaye de lui faire comprendre qu’il faut relativiser mais je sens bien qu’elle considère que je ne peux pas comprendre ce qu’elle ressent. Je n’exerce pas les mêmes fonctions, je ne vis pas la même chose. Elle se replie sur ses tracas, elle rumine, elle ressasse. Elle a l’impression que tout problème rencontre dans son travail est insurmontable, elle perd du temps sur des petits détails, elle est en train de se noyer.

Elle se met tout le monde à dos, elle envoie balader les gens au téléphone… Sérieusement, je suis inquiète. L’autre jour, je lui ai demandé si elle avait des problèmes personnels. Je n’arrivais pas à comprendre qu’elle se mette dans des états pareils seulement pour des raisons professionnelles.

Je travaille prés d’elle, je suis bien placée pour savoir qu’elle n’est pas harcelée moralement, notre hiérarchie n’est pas pire qu’une autre, elle n’a pas la pression d’un objectif chiffré à atteindre.

Je l’aide, la décharge de certaines tâches, ce n’est pas la solution mais comment lui faire comprendre que la solution ne peut que venir d’elle…

Sydo

5 janvier 2010

LA JOURNEE SANS RALEURS

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Tiens, aujourd’hui, une journée sans râleurs…c’est rare. 

Des râleurs, des grincheux, j’en vois au journal. Il y a celui qui arrive, décidé à en découdre avec le rédac chef parce qu’il a fait les frais de la rubrique Fait Divers.

Lui, vous le voyez entrer, vous sentez qu’il meure d’envie de retourner votre bureau : « je veux voir celui qui a écrit ces conn…… ! » Euh, la, croyez-moi, je suis bien contente de refiler le dossier à mon collègue journaliste : « ne bougez pas, je vais vous chercher l’auteur de cet article » (petit aparté, je préfère toujours me lever du bureau plutôt que d’appeler par téléphone, ça me fait faire de l’exercice). Et là, j’arrive à la rédaction. Visiblement, ils ont déjà entendu les haussements de voix arrivant de mon bureau car ils ont tous et toutes la tête dans leur clavier…

Alors, je me plante au milieu de la rédaction et j’explique. Au bout d’un moment, le « coupable » lève la tête, et, après avoir tenté de se défiler (je suis en bouclage, je ne sais pas quoi lui dire…) finit par se lever pour recevoir la personne.

Mais, je ne peux pas toujours me débarrasser aussi facilement de mes grincheux… Parce que, les abonnés qui ne reçoivent pas leur journal, les annonceurs qui ne trouvent pas leur pub, les clients qui ne trouvent pas leur petite annonce (« Et mon canapé, vous croyez c’est comme ça que je vais le vendre ? »), et bien ceux là, c’est pour ma pomme.

Et je les vois arriver avant même qu’ils aient franchi la porte du bureau, l’air renfrogné, certains de leur bon droit. Alors souvent, ils ont raison, il y a eu un souci. On essaye tant bien que mal de donner une explication valable alors que la seule vraie explication c’est tout simplement qu’on s’est planté, qu’on a oublié. C’est humain non ? Au lieu de ça, on parle problème informatique, problème de courrier (la Poste a parfois le dos large…).

Il y en a qui se mettent dans un état terrible pour des broutilles quand même ! Moi, j’aime bien les recevoir avec le sourire, souvent je me force à le faire, ça les désarme, ça met un peu de bonne humeur, et aussi pour beaucoup, ça les agace. C’est ça qui me plait.

Alors toujours un peu d’optimisme : comme l’aime à me rappeler souvent une collègue « Mais plains-toi, s’il n’y avait plus de râleurs, ça voudrait dire que tu n’as plus de clients, et tu n’aurais plus de boulot ! »

Enfin, pour en revenir au début de ce post, je ne vois pas pourquoi je vous raconte tout cela puisque aujourd’hui c’était une journée sans râleurs.

Bonne soirée et bon courage pour ceux qui devront affronter la neige demain matin pour le plaisir d’aller travailler.

Sydo

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